Sponsoring maillot : la Premier League loin devant

sponsoring maillot 1.png

Selon l’étude annuelle de Repucom, le marché du sponsoring maillot des 6 grands championnats européens se chiffre à 830 millions € (+12% sur un an). Sans surprise, la Premier League concentre 40% des ces investissements soit 330 millions €. La Ligue 1, dopée par le PSG, se classe quatrième (96 millions €) devant la Serie A (83 millions €) et l’Eredivisie (41 millions €).

My Premier League is very rich ! Personne ne peut rivaliser avec le championnat anglais sur le plan économique. En plus de droits TV records, la Premier League domine très largement le marché du sponsoring maillot avec plus de 330 M€ investis par les annonceurs soit une moyenne hallucinante de 16,5 millions € par club ! Autre chiffre impressionnant : on note une augmentation de 35% pour les contrats de sponsoring maillot par rapport à la saison passée. Manchester United s'adjuge de loin la palme du plus important contrat de sponsoring maillot en Europe avec 67 millions € par an déboursés par le constructeur automobile américain Chevrolet (GM). Suivent, Chelsea et Arsenal avec respectivement 51 millions € (Yokohama Tyres) et 38 millions € par saison (Emirates). 82% des 330 millions € investis cette année pour sponsoriser le maillot des clubs de Premier League sont issus de capitaux étrangers.

La Bundesliga arrive en seconde position avec un marché de sponsoring maillot estimé à 168 millions € (pour 18 clubs) devant la Liga avec 105 millions € (60% des dépenses de sponsoring maillot réparties entre le Real Madrid et le FC Barcelone). La Ligue 1 (103 millions €) profite du très gros contrat entre Emirates et le Paris Saint-Germain pour se classer quatrième devant la Serie A (83 millions €). Les investissements en sponsoring maillot reculent sur une année en Espagne (- 8 millions €), en Italie (- 1 million €) et aux Pays-Bas (- 1 million €).

Le tourisme est le premier secteur au niveau des dépenses de sponsoring maillot avec 199 millions € investis devant l’automobile (135 millions €) et de la finance (121 millions €). La compagnie aérienne Emirates (Paris Saint-Germain, Real Madrid, Arsenal, Hambourg, Milan AC) consacre un budget de plus de 100 millions par an pour sponsoriser le maillot de ses 5 clubs!

Les entreprises des pays du Golfe (Dubaï, Qatar, Abou Dabi, Bahreïn) sont les plus gros investisseurs sur le marché du sponsoring maillot en Europe avec 163 millions € dépensés sur la saison 2015-2016. Des investissements qui sont principalement issus de l’intense compétition que se livrent les compagnies aériennes de la région (Etihad Airways, Emirates, Qatar Airways, …). Les sociétés allemandes (T-Mobile, Bayer, Evonik, Deutsche Bahn, Volkswagen, …) se classent au deuxième rang (136 M€), devançant les Etats-Unis, en forte progression (87 millions €) bien aidés par l’investissement de Chevrolet à Manchester United.

Quel est l’impact économique et social de l’Euro 2016 ?

L’Euro 2016 aura lieu du 10 juin au 10 juillet, avec, pour la première fois, 24 équipes qui se disputeront le titre et qui tenteront de succéder à l’Espagne.

Un évènement majeur sur le plan sportif bien sur, mais aussi au niveau économique et social. Après 1960 et 1984, c’est la troisième fois que la France organise la compétition. A cette occasion, le Centre de Droit et d’Économie du Sport a réalisé une étude qui met en évidence l’impact économique et social de l’Euro 2016, entre économie et héritage social, sportif et territorial.

euro etude 2.jpg

En guise d’introduction à son étude, le Centre de Droit et d’Économie du Sport donne une définition en chiffres de ce qu’est le championnat d’Europe des Nations : 31 jours de compétition, 150 millions de téléspectateurs par match, 2.5 millions de spectateurs attendus dans les stades, 250 000 nuitées (sportifs, officiels, représentants UEFA, personnels), et surtout près d’1.3 milliards d’euros en terme d’impact économique potentiel. Sur ces 1.3 milliards, près de 600 millions relèvent des dépenses spectateurs dans les stades, 200 relèvent des dépenses dans les fan zones et le reste, soit près de 480 millions d’euros, provient des dépenses d’organisation (UEFA Euro 2016, fonds UEFA pour les villes hôtes, sponsors…)

10 stades accueilleront les 51 rencontres : Bordeaux, Lens, Lille, Lyon, Marseille, Nice, Paris, Saint-Denis, Saint-Étienne et Toulouse. L’occasion pour la France de rattraper son retard en terme de modernisation de son parc de stades : entre rénovation comme le Stade Vélodrome de Marseille, et construction de nouveaux stades comme le Parc OL de Lyon ou l’Allianz Riviera de Nice. L’idée était surtout, au-delà d’un simple terrain, de créer un espace d’envergure multifonctions et connecté, qui soit un lieu de vie comprenant par exemple des zones de réception pour les entreprises. 1.7 milliards d’investissements furent dédiées à ce renouvellement de l’offre de stades, 62 % d’investissement privés et 38 % d’investissements publics. Ainsi, 20 000 emplois ont été crées pour la rénovation et la construction des stades. Conséquence de ce mouvement d’ampleur, les clubs professionnels résidents seront dotés d’outils leur permettant de diversifier leurs recettes ; de même, les collectivités pourront être dotées d’un équipement sportif de rayonnement international pouvant être placé au coeur de stratégies de marketing territorial.

Des stratégies qui devront bien sur englober l’amélioration de l’offre de transports avec une redynamisation urbaine. Là aussi, l’Euro 2016 apparaît comme un levier de développement. Une opportunité majeure, également, pour le secteur touristique avec la création d’emplois, bien que temporaires, dans les hôtels et les restaurants. Plus globalement, en terme de création d’emplois, le Centre de Droit et d’Économie du Sport estime à 94 000 le chiffre des personnes employées dans le cadre de l’organisation de ce 15ème Championnat d’Europe des Nations.

D’ailleurs, les PME ont été mobilisées pour l’évènement : « De la mascotte de l’Euro aux gobelets réutilisables distribués dans les stades, en passant par le marché de l’intérim, les PME françaises devraient profiter elles aussi des retombées économiques de la compétition » rapporte l’Institut Montaigne : sur les 562 entreprises mobilisées, 58 % sont françaises.

L’étude insiste sur une condition sine qua non pour réussir l’organisation d’un tel évènement : les synergies et transversalités. Il faut percevoir chaque partie de ce projet comme autant d’opportunités de raisonner transversalement et de rechercher la complémentarité entre des milieux autrefois cloisonnés : sport, économie, tourisme, transports…

Enfin, en complément de l’aspect économique, l’étude rappelle que l’Euro 2016 revêt un enjeu social, territorial et d’image : sur le plan du lien social-sportif, la France pourra « viser la pérennisation de la situation des clubs locaux à travers une croissance du nombre de licenciés, en dynamisant et renforçant l’engagement bénévole dans le football ». Cela sera encore plus vrai en cas de bon parcours de l’Equipe de France. Un Euro qui peut redonner confiance au pays et une mise en lumière de la continuité avec les évènement suivants à venir, comme le Mondial de Hand 2017, la Ryder Cup et la candidature aux JO 2024. Quand l’enjeu de communication rejoint l’enjeu économique, l’Euro doit permettre de valoriser le territoire français et l’image du pays, avec un afflux important de visiteurs étrangers et donc une médiatisation renforcée de la France à l’échelle européenne.

Reebok fait courir les passants pour leur faire gagner des ZPump 2.0

L’opération organisée par Reebok se passe à Stockholm, les passants d’une rue commerçante sont invités à tester leur vitesse pendant la course, les plus rapides sont récompensés avec une paire de chaussures ZPump 2.0.

Pour une fois qu’on est content de se faire flasher ! Devant un billboard exposant plusieurs chaussures ZPump 2.0, les promeneurs étaient invités à courir devant la caméra incrustée au billboard (speed cam). La vitesse de course est calculée, ceux qui dépassaient la barre des 17 km/h ont eu la chance de repartir avec leur paire de chaussures ! Pour rappel la ZPump 2.0 au prix de 100 CHF en Suisse.

Reebok pousse ainsi chacun à se dépasser et chaque effort est récompensé. Cette opération illustre ce positionnement avec une activation participative et ludique ouverte à tous. Cette activation misait sur l’effet de foule afin de faire participer de nombreuses personnes et a permis de créer du contenu relayé sur le digital avec une vidéo. Cette opération s’inscrit dans la continuité de la campagne Be More Human.

Le marché du running est très concurrentiel et suscite l’engouement d’un public très large. Reebok souhaite prendre des parts de marché dans ce secteur en se démarquant de ses concurrents.

Pirelli prolonge de 5 ans avec l’Inter Milan

L’Inter Milan a annoncé avoir prolongé son contrat de sponsoring maillot avec l’équipementier pneumatique Pirelli. Les médias italiens évoquent un contrat de 9 à 10 millions € par saison.

Une relation qui dure ! Sponsor principal de l’Inter Milan depuis 1995, Pirelli a étendu son contrat de 5 ans avec le vainqueur de la Ligue des Champions 2010 jusqu’à la fin de la saison 2020/ 2021. Il s’agit de l’un des partenariats les plus anciens du football européen. Sky Italia parle d’une somme annuelle de 10 M€ en plus de primes de résultats liées notamment à une qualification en Ligue des Champions. Sur le terrain du sponsoring maillot, le club nerazzurri est largement devancé par ses rivaux de la Juventus Turin et du Milan AC qui touchent 17 M€ par an.

Dernièrement, plusieurs rumeurs avaient fait état d’un accord sur le point d’aboutir avec la compagnie Ethiad Airways, actionnaire à la hauteur de 49% d’Alitalia, la compagnie nationale italienne. Le nouvel actionnaire du club, l’indonésien Erick Thohir, qui souhaite augmenter les revenus du club était à la recherche d’un nouveau sponsor maillot. Actuellement huitième de Serie A, l’Internazionale a généré un chiffre d’affaires estimé à 165 M€ pour la saison 2014/ 2015 selon Deloitte.

Les principaux contrats de sponsoring maillot en Serie A :

1 Juventus / Jeep / 17 M€

2 Milan AC / Emirates / 17 M€

3 Sassuolo / Mapei / 15 M€

4 Inter Milan / Pirelli / 9 à 10 M€

5 Naples / Lete / 5 à 7 M€

Super Bowl 50 : les chiffres de la démesure

Évènement sportif de l’année aux Etats-Unis et symbole de l’American way of life, le Super Bowl offre chaque année des records en tout genre. Retour en chiffres sur l’apothéose annuelle de la plus puissante ligue américaine, la NFL.

Médias – audience :

  • CBS diffusera cette année le Super Bowl avec à la clé la meilleure audience de l’année supérieure à 100 millions de téléspectateurs.
  • En février 2015, la victoire des Patriots avait signé la plus importante audience de l’histoire de la télévision américaine avec 114,4 millions de téléspectateurs en moyenne sur NBC (pic à 120,8 millions en fin de match).
  • Au niveau mondial (hors Etats-Unis) le Super Bowl réuni environ 40 millions de personnes ce qui porte l’audience globale à 160 millions de téléspectateurs.
  • L’an dernier, ESPN qui propose des matchs de NFL tout au long de la saison mais jamais la finale avait produit 346 heures de programmes lors de la semaine de l’évènement !
  • Le halftime show est toujours extrêmement suivi notamment par les américain(e)s regardant la rencontre plus pour le côté festif que sportif. Le programme a fédéré 120 millions d’américains l’an dernier.
  • 1% des téléspectateurs du Super Bowl de 2015 ont regardé la rencontre sur internet. La NFL souhaite que ce chiffre augmente. Apple et YouTube devraient bientôt se positionner pour développer des offres OTT en plus du service de streaming de la NFL.

Evolution de l’audience du Super Bowl entre 1990 et 2015

Publicité :

  • 5 M$ le spot de 30 secondes pour l’édition 2016 en hausse de 11% par rapport à l’an dernier.
  • Certains annonceurs comme Audi, PayPal, Budweiser ou encore Hyundai ont prévu des publicités d’une minute soit plus de 10 M$ d’investissement pour des spots diffusés une seule fois.
  • Cette année, le géant californien Amazon sera présent pour la première fois de son histoire.
  • 19% des Américains qui regardent le match trouvent que les publicités sont plus importantes que la rencontre.
  • 71 publicités ont été diffusé l’an dernier pendant la rencontre et à la mi-temps.

Le top 5 des dépenses des principaux annonceurs aux Etats-Unis lors du Super Bowl entre 2009 et 2013

Stade et impact local :

  • Le Super Bowl 50 se déroulera au Levi’s Stadium de Santa Clara à 60 kilomètres au sud de San Francisco (Californie). Le stade des San Francisco 49ers, inauguré en 2014, peut contenir jusqu’à 75 000 spectateurs.
  • San Francisco a consacré un budget de 50 millions $ pour organiser l’évènement, une première dans l’histoire de l’agglomération. Un million de personnes sont attendues en ville ce weekend dont seulement 8% ont un billet pour le match.
  • La NFL a installé dans le centre de San Francisco son « Super Bowl City », un gigantesque espace de 40 000 m2 dédié à l’événement qui accueille concerts, animations et célébrations en tout genre.

Consommation :

  • Le Super Bowl représente chaque année le deuxième évènement de l’année aux États-Unis en terme de consommation de nourriture, derrière Thanksgiving.
  • 2 400 calories sont consommées en moyenne par chaque américain qui « grignote » devant sa télévision pendant la rencontre.
  • C’est ainsi plus de 1,25 milliard de chicken wings qui devraient être mangés.
  • On estime à 14 500 tonnes la quantité de chips dévorée pendant le jour du Super Bowl !
  • On estime à 3,8 milliards $ les paris illégaux sur le résultat final de la rencontre principalement entre collègues, amis ou en famille soit 38 fois plus que les mises légales.

NFL :

  • La rémunération de Roger Goodell, le commissioner de la NFL, s’élève à 37 millions $ par an soit l’un des plus gros salaires de PDG aux Etats-Unis.
  • La NFL a généré 10 milliards $ de revenus lors de la saison 2013/2014 soit plus que n’importe quelle autre ligue sportive mondiale et pratiquement le double de la Premier League.
  • La NFL souhaite atteindre les 25 milliards $ de revenus annuels d’ici 2027 ! L’internationalisation de la NFL va jouer un rôle clé dans la réalisation de cet objectif. En Europe, Londres représente le marché au plus fort potentiel.

Asics dévoile sa nouvelle chaussure de running

Acteur majeur du marché du running, Asics va sortir sa nouvelle fuzeX, une chaussure destinée principalement à son jeune public. Pour la concevoir, la marque a suivi deux mots d’ordre : performance et style.

Cette fuzeX présente plusieurs caractéristiques, avec en tête la légèreté et l’amorti :

  • la légèreté : elle pèse seulement 280 grammes, rendant la course plus agréable et plus aisée.
  • l’amorti : offert grâce à la semelle composée de mousse et de gel.
  • le confort : la coque talon permet un accueil ultra-confortable.
  • polyvalence : ce modèle convient plus particulièrement aux courses de moyennes distances. De plus, il est possible de l’utiliser dans les activités physiques au quotidien.
  • design : couleurs vives et style moderne, la chaussure reste toutefois dans le style de la marque.

Dans le cadre de ce lancement, Asics a mis en place une campagne intitulée « RUN ON IMPULSE » : « n’importe où, n’importe quand, cours », qui fait la suite à la campagne mondiale lancée en février 2015, « It’s a big world, go run it ».

La gamme fuzeX ne s’arrête pas uniquement à la chaussure mais se déclinera également aux vêtements de running. Deux modèles, la Asics fuzeX et laAsics fuzeX Lyte, seront mises en vente en France dès le 1er février, au prix de 130 euros, disponibles sur le site internet de la marque.

Facebook Sports Stadium, la nouvelle expérience second écran de Facebook

Commenter les rencontres sportives sur les réseaux sociaux est presque devenu un réflexe pour les internautes. Jusqu’à aujourd’hui, Twitter est la plateforme sur laquelle ils s’expriment spontanément mais Facebook souhaite inverser la tendance avec « Facebook Sports Stadium ».

Facebook possède de nombreux inscrits et parmi eux, plus de 650 millions sont fans de sport. Le réseau social est le lieu où les personnes s’expriment au sujet de leur vie privée et des sujets qui les passionnent. En ce sens, Facebook a souhaité créer avec Facebook Sports Stadium, un espace dédié aux discussions autour du sport et améliorer l’expérience 2nd écran lors de matchs diffusés à la télévision.

« Facebook Sports Stadium » est une application mobile qui permet de commenter en direct des rencontres sportives et d’accéder à du contenu ciblé en lien avec ces dernières. L’application est liée au compte Facebook personnel et permet donc d’échanger avec ses amis. Ainsi les commentaires postés sont visibles par la communauté de la personne qui utilise l’application. C’est un moyen de regarder un match avec ses amis sans être ensemble physiquement.

4 onglets composent « Facebook Sports Stadium », chacun a sa spécificité. Le 1er recense les commentaires et publications de tous les amis utilisant l’application. Dans le 2nd, on retrouve du contenu généré par des experts, c’est-à-dire des journalistes, sportifs, ligues, clubs… Le 3èmeonglet donne accès aux scores en direct, aux statistiques, au suivi live… tandis que le dernier répertorie des informations sur la rencontre et notamment où regarder le match à la télévision.

Pour le moment, cette application est uniquement disponible pour les matchs de football américain aux Etats-Unis, et donc pour le Super Bowl qui aura lieu début février. Facebook souhaite faire évoluer le service en donnant accès à tous à « Facebook Sports Stadium » et pour différentes disciplines, le basket et le football sont déjà évoqués.

Suivez l’Australian Open sur Twitter

Le premier tournoi du Grand Chelem, l’Australian Open, vient de débuter et Twitter a mis un dispositif spécial afin de permettre à tous de suivre cet événement.

L’Australian Open a un compte Twitter qui lui est propre et communique autour du hashtag dédié #AusOpen. Du contenu est généré par l’organisation mais également par les spectateurs, les médias, le staff ou encore les joueurs, ce qui permet de vivre le tournoi de l’intérieur. Des émoticônes ont été créés spécialement pour l’occasion, ces derniers sont associés à des hashtags spécifiques et mettent en avant le tennis mais aussi l’Australie, pays qui accueille l’événement.

Periscope est un élément important cette année dans la stratégie de communication de l’Australian Open. Les vidéos, directement intégrées dans le fil Twitter, feront découvrir les coulisses de l’événement, des interviews, etc. Les célèbres petits cœurs qui permettent de liker les vidéos ont été remplacés par des raquettes pour le clin d’œil.

Grâce à Twitter, les fans du monde entier pourront être présents virtuellement à l’Australian Open en postant un selfie « tennistique » sur le réseau social avec le hashtag dédié #AOSelfie. La photo apparaitra sur un mur digital mis en place au cœur du village de l’événement.

Des jeux concours sont également mis en place sur le compte du tournoi et permettent aux fans ayant la chance d’assister au tournoi de se voir « upgradé » afin de vivre l’Australian Open dans les meilleures conditions et de partager leur expérience sur Twitter avec leur communauté.

Sur place, une social room « The Australian Open Social Suite » permet de suivre en direct les résultats, les photos et vidéos postées, les données et tweets des athlètes, un moyen de relier les actions virtuelles au monde réel.

« Bring Your Game », la publicité galactique de Nike Basketball

Pour rendre hommage à la nouvelle génération des stars du basketball où talent et originalité ne font qu’un, Nike Basketball a lancé une campagne, intitulée « Bring Your Game », et un film explorant l’unicité de sept ambassadeurs que sont Kobe Bryant, Elena Delle Donne, Anthony Davis, Kevin Durant, Paul George, Kyrie Irving et LeBron James.

Le basketball mondial vit une période de transition. Le jeu change, les athlètes évoluent et il n’y a plus une ou trois stars de la NBA mais bien plusieurs joueurs qui figurent parmi les »grands ». Mais plus marquant encore, ces joueurs sont plus que d’excellents athlètes, ce sont surtout des personnalités sur et en dehors du terrain. De la pêche, passe-temps favori de Paul George à la méditation matinale et les déplacements en hélicoptère de Kobe Bryant en passant par la recette secrète de LeBron James, les scènes du film Bring Your Game nous font pénétrer dans le quotidien et les réalités de chaque athlète.

L’époque d’une superstar qui dominait le championnat est donc révolu. Ce film (de 5 minutes rappelons-le !) en fait la démonstration en mettant au centre de jeunes athlètes partant à la recherche DU meilleur joueur, tâche bien évidemment impossible puisque chacun des 7 athlètes Nike détient sa propre personnalité et ses propres caractéristiques.

On appréciera aussi l’apparition d’une autre star Nike, la légende du tennis Serena Williams.

Une période de teasing sur les réseaux sociaux des joueurs et de Nike Basketball a précédé le lancement de la publicité, permettant d’augmenter l’engagement et de permettre à la marque et au film de dépasser les 2.5 millions de vues en 48 heures.

Stephen Curry boit de l’eau Brita

La star du basketball Stephen Curry s’engage aux côtés de la marque de filtration d’eau Brita dans le but d’inciter le grand public à boire de l’eau plutôt que des sodas, largement représentés par les athlètes du monde entier.

Le partenariat entre Brita et Stephen Curry, qui durera 3 ans, vise à faire la promotion de l’eau en général comme boisson indispensable à la vie et synonyme de bonne santé. La lutte contre l’obésité et la « malbouffe » est un enjeu important aux Etats-Unis, le but de ce partenariat, d’où l’importance pour Brita, de s’associer à un ambassadeur de renom. Véritable star aux Etats-Unis, Stephen Curry prêtera son image à la marque pour sa communication : publicité TV, digital, relations presses et publiques.

« L’eau potable est essentielle à un mode de vie sain. L’eau est ma boisson. Je veux que Brita donne bon goût à l’eau du robinet, de sorte que vous ne devez pas dépenser de l’argent ou des déchets de plastique pour de l’eau en bouteille. » déclare Stephen Curry.

Ed Huber, Directeur Général de la marque Brita explique « Stephen Curry est un modèle pour des millions d’enfants et d’adultes dans le monde. En décidant de travailler avec Brita – et ne vous méprenez pas, Stephen Curry pourrait représenter toutes les boissons qu’il veut – il envoie un message puissant qui vise à dire que l’eau propre et claire est le bon choix pour tout le monde en Amérique. »

Tissot, toujours plus proche du sport !

Après avoir annoncé un partenariat  avec la NBA, Tissot continue de s’investir sur le marché du sport avec de nouveaux partenariats !

Le 5 octobre dernier, la NBA désignait Tissot comme le chronométreur officiel pour les prochaines saisons (à partir de 2016/2017). L’horloger suisse mettra donc en place un système de chronométrage ultra performant, intégré aux panneaux de baskets à travers les arènes des différentes ligues (NBA, Women’s National Basketball Association, et NBA Development League). Au terme de cet accord Tissot a également reçu le droit d’utiliser la licence NBA pour commercialiser des produits. Ainsi, François Thiébaud déclarait : “Les émotions et l’esprit de ce sport se traduiront dans nos produits.”

Un mois après la publication du partenariat avec la NBA, Tissot a  renforcé cette nouvelle relation en annonçant 5 nouveaux contrats de « sponsoring » avec 5 franchises de NBA que sont les Chicago Bulls, Les New York Knicks, Les Los Angeles Lakers, les San Antonio Spurs et les Miami Heat ! Des équipes de choix puisque les trois premières équipes mentionnées sont les plus valorisées de la ligue et les 3 dernières sont les équipes les plus titrées du 21 ème siècle (5 titres pour les Lakers, 4 pour les Spurs et 3 pour les Heat). Pour fêter l’évènement, Tissot a remis à chaque équipe un modèle « Quickster édition spéciale » reprenant les différentes couleurs de leurs franchises!

Le 9 Novembre, soit 4 jours plus tard, l’EPCR (European Professionnel Club Rugby) annonçait au cours du lancement des coupes d’Europe 2015/2016 que l’horloger suisse serait le chronométreur officiel et la montre officiel de ses compétitions européennes (« The European Rugby Champions Cup » et la « Challenge Cup« ) pour les 5 prochaines saisons. Tissot équipera donc d’un système de chronométrage tous les stades de ces 2 compétitions ! François Thiébaud a ainsi déclaré :

 » Nous sommes très fiers de faire partie du rugby des clubs professionnels européens. Ce partenariat réaffirme notre engagement dans le monde du rugby, un sport qui véhicule un grand nombre de valeurs prônées par Tissot, telles que le travail d’équipe, mais aussi la performance individuelle, le respect, le fair-play, la discipline et l’amour du sport. En outre, la Champions Cup et la Challenge Cup constituent des plateformes idéales pour mettre en valeur notre expertise dans un environnement international captivant. »

Tissot mise de plus sur le sport pour se développer. En effet, le sport représente un marché intéressant pour les entreprises qui recherchent la proximité avec ses consommateursLe sportprovoque des émotions qui facilitent l’interaction sur les réseaux sociaux. Ainsi, il permetd’engager ses consommateurs plus facilement. C’est sur ce terrain que souhaite jouer Tissot !

Lionel Messi, Usain Bolt, Dwayne Wade & co dans la dernière publicité Gatorade

En 2015, la marque Gatorade du groupe PepsiCo, célèbre ses 50 ans d’existence. Cette semaine, la marque a présenté la dernière publicité de son année anniversaire avec une pléiade de stars.

En effet, Lionel Messi, Usain Bolt, Abby Wambach, Dwyane Wade et Eli Manning font partie des athlètes qui apparaissent dans la publicité, conçue par l’agence TBWAChiatDay Los Angeles. Ce spot, intitulé « Moving The Game Forward » (« Faire avancer le jeu »), positionne Gatorade comme la marque qui alimente le sport, un positionnement qui a pour objectif de faire évoluer la marque de son statut de boisson hydratante pour le sport.

Alors que la première publicité de cette année anniversaire faisait référence aux 50 moments marquants de l’histoire de la marque dans le sport, ce nouveau spot est tourné vers le futur et les priorités de Gatorade, à savoir créer des formules de boissons personnalisées en fonction des besoins de chaque athlète.

« Ce que vous verrez de Gatorade dans un futur proche est notre approche de la personnalisation pour répondre aux besoins des athlètes. » a annoncé Kenny Mitchell, Senior Director of Consumer Engagement chez Gatorade. « Nous sommes en pleine phase de finalisation actuellement et nous partagerons avec le grand public le temps venu. »

Ce projet pourrait etre une bouteille connectée dont on voit les prémices dans le film et qui serait reliée à un capteur porté par l’athlète capable de connaitre en temps réel les besoins nutritionnels de l’athlète et de diffuser dans la bouteille la quantité nécessaire de Gatorade pour l’aider à atteindre son objectif.

Under Armour lance la Curry Two avec Jamie Foxx

Pour le lancement de la Curry Two, la deuxième chaussure signature de Stephen Curry, MVP de la saison dernière en NBA, Under Armour fait appel à l’acteur Jamie Foxx dans sa dernière publicité « Flash ».

L’agence Droga5 qui s’occupe de la communication de la marque, a donc décidé de faire revenir Jamie Foxx qui avait déjà collaboré avec la marque en février dernier, « Book of Will ». Dans son style unique, Jamie Foxx, visible durant la publicité, fait la « voix-off » du spot « Flash » qui célèbre le talent de Stephen Curry, véritable symbole de la révolution en cours de le monde du basketball, et de la chaussure, la Curry Two, lancée le 24 Octobre prochain. « Combien de temps faut-il pour changer le basketball ? » se demande Jamie Foxx ? La réponse en image dans cette publicité de 60 secondes.

Le feu d’artifice de pyrotechnique allié à la voix de Jamie Foxx devrait donc ravir les fans hardcore de basketball qui composent une partie importante de l’audience principale d’Under Armour.

« Stephen est un véritable phénomène de sa génération. Il s’entraîne dur et croit en lui sur le terrain, ce qui lui permet de changer le jeu et être apprécié par autant de fans à travers le monde »dixit Peter Murray, Vice President Global Brand & Sports Marketing, lors d’une interview au site Adweek. « Ce nouveau contenu, avec Stephen portant la nouvelle Curry Two, montre sa palette de jeu unique, une véritable inspiration pour les nouvelles générations pour changer à leur tour ce sport qu’est le basketball. »
Droga5 a aussi créé une série de GIFs, tirés du film, notamment publiés sur le compte twitter de Jamie Foxx.

La marque a par ailleurs déjà prévue une série d’activations notamment le 27 octobre, veille de la reprise de la saison de NBA, invitant tous les membres de la Dub Nation (le nom des supporters de Golden State Warriors, la franchise où évolue Stephen Curry).

Tom Brady à l’heure avec TAG Heuer

Le quarterback de New England Patriots et quadruple vainqueur du Super Bowl, Tom Brady, devient ambassadeur de l’horloger TAG Heuer.

En intégrant Tom Brady comme ambassadeur, TAG Heuer a désormais un pieds sur le sol américain et continue d’alimenter sa campagne #DontCrackUnderThePressure dont Maria Sharapova, Cristiano Ronaldo ou encore David Guetta font déjà partie. Cette annonce va de paire avec le lancement de la nouvelle montre Carrera 1 pour laquelle Tom Brady prête son image.

Jean-Claude Biver, le président de la Division Montre du Groupe LVMH et Directeur Général de TAG Heuer déclare : « Nous sommes ravis d’avoir Tom Brady en tant qu’ambassadeur de TAG Heuer et nous sommes impatients d’intégrer le traditionnel football américain. Tom incarne les principes de la persévérance, de la force, et illustre un engagement inébranlable envers l’excellence face à la pression. Il personnifie la mentalité #Don’tCrackUnderPressure. »

Tom Brady ajoute : « Je suis ravi de faire partie de l’équipe d’ambassadeurs TAG. J’ai toujours admiré l’artisanat qui existe autour des montres de luxe et la nouvelle Carrera 1 ne fait pas exception. La première belle montre que j’ai achetée était une TAG Heuer. Il semble que la boucle est bouclée avec cette société que j’admire. »

Cristiano Ronaldo lance sa boisson pour le sport, CR7 Drive

La marque de nutrition Herbalife et la superstar du football mondial, Cristiano Ronaldo, ont annoncé le lancement de la boisson de sport, CR7 Drive.

En tant que sponsor nutrition de l’attaquant du Real Madrid, Herbalife emmène le partenariat à un autre niveau avec CR7 Drive, le joyau de cette collaboration qui a démarré en juin 2013. Depuis l’officialisation du partenariat, Herbalife s’est engagé à accompagner l’athlète sur et en dehors du terrain et la boisson CR7 Drive en est le résultat fini, proposé donc au grand public.

« Cristiano Ronaldo prend le sujet de la nutrition au sérieux et reconnait qu’un régime adapté et combiné avec un choix de nutriments peut améliorer largement les performances » dixit Michael Johnson, chairman & CEO d’Herbalife. « Nous avons conçu et développé CR7 Drive avec et pour Cristiano Ronaldo mais ses besoins ne sont pas différents de ceux des autres athlètes et nous sommes honorés de rendre CR7 Drive disponible au grand public. »

La marque en a profité pour réaliser un film de près de 2 min publié en version 30 secondes sur le compte twitter de l’athlète, tweet qui suivait un teasing réalisé il y a 10 jours.

La boisson CR7 Drive ne contient pas d’arôme artificiel et de sucre ajouté dixit la marque et a pour objectif d’hydrater l’athlète avant et pendant l’effort en apportant les nutriments et éléments perdus lors de l’exercice, une promesse similaire à ses concurrents sur le marché que sont Powerade (Coca-Cola) et Gatorade (PepsiCo).

Après sa marque de sous-vêtements et sa marque de chaussures, Cristiano Ronaldo continue à développer sa propre image et son propre business, histoire de s’assurer une retraite convenable…

Nissan active son marketing sportif avec la Ligue des Champions

Nissan, partenaire de la Ligue des Champions, a décidé de jouer la carte du participatif et des réseaux sociaux pour la nouvelle saison de la plus grande compétition européennes de clubs de football.

Comme l’année dernière, plusieurs opérations sociaux seront organisées sur les réseaux sociaux de Nissan tout au long de la saison. Le coup d’envoi a été d’ailleurs donné par le jeu #ChampionsKey au moment du tirage au sort des phases de groupe, le 27 août dernier. 

D’ un point de vue ambassadeurs, rien ne change puisque Thiago Silva, Andres Iniesta et Yaya Touré (les « ingénieurs de l’émotion ») continueront à porter fièrement les couleurs et valeurs Nissan tout au long de la saison.

Comme l’année dernière, l’activation « fil rouge » de Nissan sera le But De La Semaine. Il s’agit d’un jeu concours destiné à élire le plus beau but marqué chaque semaine de Ligue des Champions. 

Après chaque semaine de Ligue des Champions (mardi et mercredi), les 5 plus beaux buts sélectionnés par les experts de l’UEFA selon des critères spécifiques (impact sur les réseaux sociaux, impact sur le scénario du match, difficulté du geste, distance du but, …) seront mis en ligne sur le site. Les sessions de vote se clôtureront chaque lundi précédant une nouvelle semaine de Ligue des Champions. « A travers cette analyse, les ingénieurs de Nissan apportent une dimension scientifique au football et la marque reste fidèle à sa signature de marque « innovation that excites » ou encore en français « innover autrement ». 

A l’issue de la compétition, tous les votants ayant élu les bons Buts de la Semaine seront sélectionnés pour un ultime tirage au sort. En somme, plus les votants participent, plus ils ont de chance de se qualifier au grand tirage au sort pour lequel ils pourront peut-être gagner : un Nissan JUKE Tekna DIG-T 115.

Les chiffres de la Coupe du monde de Rubgy 2015

Jour J, pour l'événement sportif de l'année 2015: la huitième Coupe du Monde de rugby de l’histoire début ce vendredi en Angleterre. Nous vous proposons une revue des principaux chiffres « business » de cette épreuve.

Economie :

  • 3,5 milliards € : l’impact économique indirect de la compétition au Royaume-Uni (EY)
  • 1,34 milliard € : l’impact économique direct de la compétition sur l’économie du Royaume-Uni (EY)
  • 411 millions € : le coût de l’organisation du Mondial (World Rugby)
  • 900 millions € : le chiffre d’affaire de la compétition pour la World Rugby (droits TV, billetterie, sponsoring, …)
  • 341 millions € : le bénéfice attendu pour le Mondial 2015 (World Rugby)
  • 220 millions € : le chiffre d’affaire de l’ensemble de la billetterie (World Rugby)
  • 85% : le pourcentage que représente la Coupe du Monde 2015 dans les revenus annuels de World Rugby (World Rugby)

Sponsoring :

  • 6 : sponsors mondiaux (Heineken, Emirates, Société Générale, DHL, Land Rover, Master Card)
  • 4 : sponsors officiels (Coca-Cola, Toshiba, Fujitsu, Canon)
  • 6 : sponsors « suppliers » (Tissot, Gilbert, Canterbury, Clifford Chance, Dove, EY)
  • 3 : sponsors « providers » (Duracell, Grant, Heathrow Airport)
  • 7 : le nombre de marques qui parraineront la Coupe du Monde sur l’antenne de TF1 et sur la plateforme MyTF1 (Société Générale, GMF, Land Rover, Isover, Petrol Hahn, Samsung et Monster)

Stades et spectateurs :

  • 13 : le nombre de stades utilisés pour l’ensemble des 48 matchs
  • 11 : le nombre de villes qui accueilleront l’événement (3 stades utilisés à Londres)
  • 12 300 places : la capacité du plus petit stade du Mondial, Sandy Park à Exeter
  • 90 256 places : la capacité du plus grand stade de l’épreuve, Wembley
  • 2 300 000 : billets mis en vente
  • 1 160 000 : billets mis en vente pour les matchs à Londres
  • 600 000 : les demandes de billets pour le match de poule entre l’Angleterre et l’Australie
  • 2 400 000 : le nombre de spectateurs attendus correspondant à un taux de remplissage de 95%
  • Entre 422 000 et 466 000 : les visiteurs étrangers attendus
  • 6 000 : volontaires mobilisés

Médias :

  • 4 milliards : l’audience cumulée attendue pour cette 8ème Coupe du Monde
  • 150 millions : l’audience cumulée à travers le monde pour la finale
  • 103 : le nombre de chaînes de télévision qui retransmettront la Coupe du Monde 2015
  • 205 : le nombre de pays et territoires où la Coupe du Monde sera diffusée
  • 18,3 millions : l’audience record pour un match de rugby en France (demi-finale Coupe du Monde 2007, France/ Angleterre)
  • 15,4 millions : l’audience de la finale de l’édition précédente (Nouvelle-Zélande/ France) diffusée par TF1 un dimanche matin
  • 45 millions € : le montant des droits de diffusion payé par TF1 pour l’édition 2015 (TF1 devrait toucher une somme d’environ 20 millions € pour son accord de sous-licence avec Canal+)
  • 21 : le nombre de matchs que TF1 va diffuser durant la compétition dont l’intégralité des matchs de l’Equipe de France
  • 22 : le nombre de matchs visible en Chine, qui retransmet pour la première fois une Coupe du Monde
  • 255 000 € : le prix brut du « golden spot » de 30 secondes sur TF1 si la France se qualifie pour la finale (spot entre les hymnes et le coup d’envoi)
  • 18 000 € : le prix brut du spot de 30 secondes le moins cher sur TF1 (Afrique du Sud/ Samoa)
  • 24 millions € : les recettes publicitaires brutes engrangées par TF1 Publicité lors du Mondial 2011

Le Rugby pour les nuls...par Samsung

Les règles de rugby sont complexes pour les néophytes : quelle est la différence entre un demi d’ouverture et un demi de mêlée ? ou encore entre un ruck ou un maul ? Pour essayer d’éduquer une cible de fans occasionnels, Samsung UK a décidé de collaborer à l’occasion de la Coupe du Monde de Rugby qui débute le 18 Septembre prochaine en Angleterre, avec le comédien et ancien participant de Big Brother UK, Jack Whitehall pour créer la « Samsung School of Rugby ».

La « Samsung School of Rugby » est une série de 6 films courts destinés à recruter des néophytes qui seraient potentiellement désintéressés complètement par la compétition. 

Cette campagne, Samsung School of Rugby, est la première activation de Samsung depuis la signature du partenariat avec la Rugby Football Union. La campagne se déclinera bien évidemment en TV mais aussi en print, en opérations digitales sur le point de vente et sur les réseaux sociaux. Ceci vous permettra de devenir incollable sur le Rugby

Roger Federer le roi aussi en sponsoring

Une récente étude d’Opendorse et Forbes révèle le classement 2015 des athlètes ayant reçu le plus de revenus issus de leurs contrats de sponsoring ou d’endorsements, un classement dominé par le tennisman, natif de Bâle, Roger Federer.

En 2015, les top 100 athlètes ont reçu 836 millions de dollars en contrats de sponsoring, une augmentation de 13% par rapport à l’année dernière. Roger Federer est donc numéro 1 de ce classement avec un revenu estimé à 58 millions de dollars cette saison, majoritairement lié à ces contrats long-terme avec Nike, Mercedes et Crédit Suisse. Le podium est complété par deux golfeurs : Tiger Woods et Phil Mickelson. Alors que Woods peine à retrouver sa forme sur les greens, ses deals avec Nike, Rolex entre autres lui permetttent de passer la barre des 50 millions de dollars de revenus par an. Pour Phil Mickelson, ses revenus sont estimés à 44 millions de dollars grâce à ses partenariats et contrats avec Rolex et Exxon Mobile.

Les golfeurs et tennismen trustent les premières places de ce classement puisqu’en plus des athlètes nommés plus haut, Rory McIlroy, ex numéro 1 mondial, est 6ème avec 32 millions de dollars de revenus sponsoring, et Novak Djokovic et Rafael Nadal sont 7ème et 8ème avec respectivement 31 millions de dollars et 28 millions de dollars de sponsoring. Le top 10 est complété par LeBron James et Kevin Durant, les stars de la NBA qui devraient empocher 44 et 35 millions de dollars grâce à leurs deals avec Beats by Dre, Coca-Cola, Kia, McDonald’s, Samsung et Nike pour LeBron et Nike, 2k Sports et Sprint pour Kevin Durant.

Cristiano Ronaldo, premier footballeur de ce classement, est au 9ème rang avec 27 millions de dollars de revenus sponsoring, notamment grâce à ses deals avec Nike, Konami, Tag Heuer et Samsung.

Au delà de la 15ème place, on retrouve Andy Murray (16ème, 16 millions de dollars) Floyd Mayweather et Derrick Rose (17ème, 15 millions de dollars), la numéro 1 incontestée du tennis féminin, Serena Williams (20ème, 13 millions de dollars), Manny Pacquiao, Dwayne Wade et le veteran de la NFL, Peyton Manning, (21ème, 12 millions de dollars), le nouveau numéro 1 mondial du golf, Jordan Spieth (26ème, 11 millions de dollars), Gareth Bale (27ème, 9.5 millions de dollars), Wayne Rooney et Blake Griffin (33ème, 7 millions de dollars), Zlatan Ibrahimovic (38ème, 6 millions de dollars), Kimi Raikkonen (63ème, 2 millions de dollars) et Sebastian Vettel (68ème, 1 million de dollars).